Ambassadeur du numérique pour l’Etat français, et ancien pilote de la mission Etalab puis directeur de la DINSIC, cet ancien diplômé de l’École normale supérieure a commencé sa carrière dans le privé. Dans un portrait signé par Le Monde, il est décrit comme un homme « élevé au logiciel libre » voulant « apporter l’agilité du monde numérique » à l’État. Il voit notamment la donnée ouverte comme « un bien commun, une infrastructure à partir de laquelle on peut innover, créer des services et développer l’économie »
Henri Verdier présente ses idées dans deux ouvrages qu’il a cosignés, L’Âge de la multitude : entreprendre et gouverner après la révolution numérique, avec Nicolas Colin, et Des startups d’État à l’État plateforme, avec Pierre Pezziardi, mais aussi sur son blog personnel.